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Constats, freins et solutions
L’ouverture est perçue comme un danger par les acteurs publics, à tort ou à raison
Certains cadres et agents des administrations publiques perçoivent l’ouverture comme un danger: risques pour la sécurité des systèmes d’information, méfiance sur la réutilisation lucrative des données ouvertes, privatisation de la valeur ajoutée. D’autres craignent que les données soient utilisées contre l’administration: mise au jour de l’imperfection de l’action publique, interprétation fallacieuse voire néfaste des données. Enfin, la vision des données et codes sources comme un patrimoine susceptible d’être dévalorisé par l’ouverture est encore présente, notamment pour certains chercheurs.
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De ce constat se dégagent à mon avis trois craintes majeures qu'il est nécessaire de prendre au sérieux :
- La monétisation des données publique: Une double licence avec d'une part une licence ouverte contaminante et d'autre part une licence payante pour usage commercial semble être adaptée à cette problématique
- L'usage néfaste des données: Que ça soit lié a un problème structurel ou sociétal, cacher les données n'arrange pas les choses alors qu'au contraire les présenter et les expliquer permet de faire avancer les problèmes.
- risques pour la sécurité des SI: Ce problème est bien réel, mais ne nécessite pas d'être traité rapidement puisque les données à risques sont principalement les données d'architecture, de configuration d'équipement de sécurité, etc. Ces données ne sont pas les premières a devoir être ouverte comparé au code sources des services qui une fois ouvert peuvent bénéficier de campagne annuelle de recherche de bug ainsi que de contribution citoyenne.
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