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Constats, freins et solutions
L’ouverture est perçue comme un danger par les acteurs publics, à tort ou à raison
Certains cadres et agents des administrations publiques perçoivent l’ouverture comme un danger: risques pour la sécurité des systèmes d’information, méfiance sur la réutilisation lucrative des données ouvertes, privatisation de la valeur ajoutée. D’autres craignent que les données soient utilisées contre l’administration: mise au jour de l’imperfection de l’action publique, interprétation fallacieuse voire néfaste des données. Enfin, la vision des données et codes sources comme un patrimoine susceptible d’être dévalorisé par l’ouverture est encore présente, notamment pour certains chercheurs.
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Conversation avec Cyrille Giquello
La société civile n'a pas attendu l'ouverture des données pour porter des critiques sur le fonctionnement ou les livrables de l'administration, ce n'est donc pas un argument.
Je vois plutôt une belle occasion pour la société civile de pouvoir contribuer à l'amélioration des données publiques. Ce ne peut pas toujours être possible, mais des projets ont déjà fait leur preuve comme Base adresse, Défébrilateurs, NosDeputes.fr, ...
Je pense qu'il est important d'encourager les citoyennes et les citoyens à participer, notamment en faisant remonter les erreurs détectées (via un bouton prévu sur la plateforme, un appel téléphonique, etc.) : le public doit pouvoir se ré-approprier la donnée publique, que ce soit en l'utilisant ou en participant à sa collecte et sa vérification.
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