Contribuez à la Mission Politique publique de la donnée
Constats, freins et solutions
Il y a plusieurs types de réutilisateurs avec des environnements économiques et juridiques différents, justifiant une mise à disposition différenciée
La réutilisation des données ne relève pas d’un bloc monolithique et il convient de prendre en compte les différents cercles susceptibles d’exploiter des données pour des finalités/usages différents. Il est essentiel que cela soit reconnu à tous points de vue, car les usages (et les contraintes juridiques et d’anonymisation) sont forcément spécifiques.
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Le problème, c'est que l'on ne peux pas prévoir de façon fiable quels seront les usages qui vont émerger dans les prochaines années (par exemple, dans 10 ans). Donc au lieux de catégoriser les données et les usages aujourd'hui et de risquer de tuer dans l’œuf des avancées futures, il vaut mieux juste ouvrir les données pour tous et laisser les entrepreneurs développer de nouveaux usages. À titre d'exemple: le projet "Human Genome Project" du gouvernement Américain a coûté 3 milliards de dollars mais l'impact économique est évalué à 800 milliards de dollars, ceci grâce à l'ouverture totale des données (dans les années 90, personne n'aurait imaginé que l'on puisse séquencer l'ADN aussi facilement et rapidement qu'aujourd'hui)...
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