Contribuez à la Mission Politique publique de la donnée

Je ne comprends pas pourquoi ces cas d'usages se limitent à un usage par les pouvoirs publics alors que ces données pourraient avoir un intérêt à d'autres types d'acteurs. L'ouverture des données de certains acteurs privés pourrait se faire dans le cadre d'une vérification d'applications légales ou dans le cadre de partage. La crise sanitaire a montré comment ces données ont pu être utilisées. Au delà des problèmes d'anonymisation cependant, l'idée qu'un comportement autorisé puisse servir aux pouvoirs publics à surveiller le comportement de la population est assez inquiétant. Ces données et partages existent déjà dans le cadre de partenariat avec l'Insee par exemple, et c'est peut être mieux que ça soit fait ainsi pour prévenir au cas par cas des mésusages.

option invasive a effet limité sur l'étude de marché.

Certains groupes bancaires y sont déjà: https://donnees-territoire.banquepopulaire.fr/
Les données sont disponibles ici: https://bpce.opendatasoft.com/explore/?sort=modified&q=tourisme

Il y a un équilibre à trouver entre l'agrégation et la granularité de telles données au très fort potentiel réidentifiant et personnel.

Le partenariat avec l'INSEE est un minima, une diffusion par l'INSEE de données où le seul potentiel réidentifiant a été éliminé pourrait être publié, pour aller au-delà des publications actuelles très fortement agrégées car purement statistiques.

Le chiffre d'affaire de l'entreprise en fonction de son secteur d'activité me semble être un bon indicateur, pas nécessaire de descendre au niveau de la transaction ou du client.

Il me semble aussi qu'il y a d'autres manières de mesure l'impact économique de telle ou telle mesure ... car anonymiser ne suffit pas, et avec trop d'aggrégation, on ne voit plus trop l'intérêt