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L’ouverture est perçue comme un danger par les acteurs publics, à tort ou à raison
Certains cadres et agents des administrations publiques perçoivent l’ouverture comme un danger: risques pour la sécurité des systèmes d’information, méfiance sur la réutilisation lucrative des données ouvertes, privatisation de la valeur ajoutée. D’autres craignent que les données soient utilisées contre l’administration: mise au jour de l’imperfection de l’action publique, interprétation fallacieuse voire néfaste des données. Enfin, la vision des données et codes sources comme un patrimoine susceptible d’être dévalorisé par l’ouverture est encore présente, notamment pour certains chercheurs.
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L’ouverture et la réutilisation des données peut représenter à la fois une opportunité et un danger. Il est certain que l’ouverture de certaines questions peuvent questionner la souveraineté de la France, d’autant que d’autres grands Etats, ne prévoient pas une ouverture aussi large des données. Une des questions qui se pose aussi est de savoir à qui va vraiment bénéficier l’ouverture des données ? A de très grands acteurs ? Ou à des starts-up européennes qui vont pouvoir se développer ?
Enfin, les réticences à ouvrir les données pourraient également être levées, s’il y avait plus de partage des données, ce qui est d’ailleurs la base de l’open data. Les données enrichies devraient revenir à leurs producteurs qu’ils soient collectivités ou entreprises et créerait ainsi un cercle vertueux de prospérité pour tous. C’est clairement un point qui devrait être plus soulevé et permis dans les licences.
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