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L’ouverture est perçue comme un danger par les acteurs publics, à tort ou à raison
Certains cadres et agents des administrations publiques perçoivent l’ouverture comme un danger: risques pour la sécurité des systèmes d’information, méfiance sur la réutilisation lucrative des données ouvertes, privatisation de la valeur ajoutée. D’autres craignent que les données soient utilisées contre l’administration: mise au jour de l’imperfection de l’action publique, interprétation fallacieuse voire néfaste des données. Enfin, la vision des données et codes sources comme un patrimoine susceptible d’être dévalorisé par l’ouverture est encore présente, notamment pour certains chercheurs.
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L'industrie du "code" n'est pas comme l'industrie manufacturière, il n'y a presque que le coût de l'investissement de départ ensuite c'est (presque) que du bénéfice. Nos collectivités (nos impôts donc) financent chacune des logiciels différents pour remplir les mêmes besoins. C'est (c'était) très bien pour partager l'économie entre des acteurs, tant qu'il n'y a pas un géant qui s'accapare le marché en investissant 1 fois pour une rentabilité rapide et pour (très) longtemps.
La publication et le maintien collaboratif de solutions logicielles libres semble être la réponse à cet accaparement des marchés par les géants de la tech. Cette politique d'ouverture du "code" permet de repartager l'économie grâce aux services associés.
ex: le passage à la suite bureautique OpenOffice/LibreOffice de certaines administrations à très fortement contribué à l'amélioration du logiciel et à fournir du travail à plusieurs entreprises.
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