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Constats, freins et solutions
Le manque de doctrine claire et partagée limite la cohérence de la politique publique de la donnée
Quelle est la doctrine en matière de politique publique de la donnée ? L’autonomisation et la multiplicité des acteurs, au niveau national et territorial, ne vont pas dans le sens d’une politique de la donnée cohérente et nationale. De même, les acteurs publics ne disposent pas d’espace de structuration, de dialogue avec les tiers, et n’endossent pas le rôle d’animation de communautés.
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Pléthore de CSV en licence ouverte, cela ne fait pas un service de données de qualité. Trop de facteurs concourent à la multiplication anarchique des portails et des contenus. Le juge de paix de la qualité, c'est l'utilisateur, et non l'offreur. Ouvrons sérieusement l'entre-soi de l'OpenData, et renforçons la régulation à 3 niveaux :
- régulation nationale des principaux producteurs (Insee, ministères, IGN...). Je préfère un site de l'Insee ou de l'IGN bien conçu (et donc mieux construit que les existants), à un data.gouv bordélique et redondant.
Avec en face un vrai Conseil National de la Donnée (remplaçant CNIG, CNIS et autres) aux pouvoirs contraignants donnant place prépondérante aux représentants des utilisateurs (journalistes, universitaires...)
- régulation régionale, à savoir un portail unique de données régional, piloté par des utilisateurs et des offreurs porteurs d'une doctrine partagée.
- coordination inter-reg (qui existe) et subsidiarité intelligente avec le national.
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