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Constats, freins et solutions
à certaines données de prise de rendez-vous et de gestion des consultations de santé (Doctolib) ?
La richesse de l’information détenue par les plateformes de gestion en ligne des consultations et des rendez-vous de santé comme Doctolib pourrait contribuer à la connaissance et au suivi épidémiologique, par exemple lors d’une crise comme celle de la COVID. Certaines données pourraient être anonymisées et agrégées pour permettre une visualisation en temps réel et renforcer la lutte contre une épidémie.
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Je suis contre en effet, le simple fait de prendre un rendez-vous chez un médecin ayant une certaine spécialité (par exemple l'oncologie) permet déjà le profilage santé des patients et des citoyens. D'ailleurs, Doctolib s'est infiltré dans la relation de soin comme un acteur qui devient incontournable et qui finalement nuit au secret médical et à la confidentialité et l'intimité de la relation de soin auxquelles chaque patient a droit. De plus, dans le cadre d'une épidémie comme le COVID, l'acceptabilité des mesures de prévention repose plus sur la coopération et sur la responsabilité des acteurs que sur le recueil de données dans leur dos. Comme Thomas F. je m'interroge sur la fiabilité des données car effectivement consulter ne veut pas dire être atteint de la maladie. Toutefois, le suivi des patients (itération des consultations) n'a pas à donner lieu à un profilage avec les risques d'exlusion (prêt, emploi, assurance vie) lié à l'exploitation de ces données.
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