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Constats, freins et solutions
Les ressources des acteurs publics sont contraintes, alors que l'ouverture demande des investissements et des moyens humains
L’ouverture des données et des codes appelle des moyens financiers et humains supplémentaires. Les administrations en particulier sont limitées par des systèmes d’information existants, parfois anciens et qui n’ont pas été conçus pour l’ouverture des données.
Par ailleurs, l’ouverture déséquilibre le modèle économique de certains producteurs, comme l’IGN et Météo-France qui doivent repenser leurs modèles économiques dans le contexte des nouveaux usages de la donnée.
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L'ouverture génère aussi des économies puisqu'il n'est plus nécessaire que chacun développe une base équivalente. Elle réduit les démarches administratives et donc soulage le personnel concerné puisqu'on a accès directement à l'information. Elle permet des synergies comme celles qui ont permis la création de la Base d’Adresses Nationale.
Pour ce qui est des données difficiles à exporter, c'est probablement le bon moment pour repenser sa base de données pour à l'arriver y gagner en efficacité. L'ouverture pousse à la modernisation des infrastructures logicielles et à l'inter-compatibilité, ce qui me semble bien. Donc oui là il y a un coût mais pour le mieux.
Enfin pour les modèles économique de l'IGN et de Météo-France c'est s'adapter ou mourir. Si l'IGN était resté aux cartes papiers vendues non seulement il serait ruiné (qui achète encore des cartes papier ?) mais OpenStreetMap et Google Map seraient les seules références aujourd'hui. Idem pour Météo-Fr qui a aussi de la concurrence.
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