Contribuez à la Mission Politique publique de la donnée
Constats, freins et solutions
Les ressources des acteurs publics sont contraintes, alors que l'ouverture demande des investissements et des moyens humains
L’ouverture des données et des codes appelle des moyens financiers et humains supplémentaires. Les administrations en particulier sont limitées par des systèmes d’information existants, parfois anciens et qui n’ont pas été conçus pour l’ouverture des données.
Par ailleurs, l’ouverture déséquilibre le modèle économique de certains producteurs, comme l’IGN et Météo-France qui doivent repenser leurs modèles économiques dans le contexte des nouveaux usages de la donnée.
Liste des soutiens
et 27 autres personnes
(voir plus)
(voir moins)
Signaler un contenu inapproprié
Ce contenu est-il inapproprié ?
Détails du commentaire
Vous ne voyez qu'un seul commentaire
Vous pouvez accéder au reste des commentaires ici.
Conversation avec Christian Quest
Ce coût d'ouverture est de plus très souvent compensé par les économies que cette ouverture peut engendrer et les autres "externalités positives".
Combien de données sont reconstituées en parallèle par des administrations fonctionnant en silo ?
oui globalement, l'ouverture est sûrement le plus souvent "rentable", mais localement et à court terme, pour le service qui doit ouvrir des données (donc les décrire, les nettoyer, les publier puis les mettre à jour, assurer un sav, etc.) ça représente un coût et/ou du temps, sauf motivation particulière (projet en cours, individu très convaincu par l'open, ou justement financement ou création de poste, c-à-d des moyens supplémentaires)
Chargement des commentaires ...